11 Septembre 2001 : Qui sont les vrais coupables ?

ATTENTION
Comme toutes les « théories du complot », Cette page contient des éléments qui sont peut-être vrais, et d’autres… qui peuvent être faux, ou qui sont de simple hypothèses. A lire attentivement,donc, et avec un regard critique. Comparez avec d’autres sources d’information, et faites-vous votre propre opinion !

Avant l’attentat

Courant 2001, Les services secrets américains ont connaissance du fait que Al Queida prépare un attentat à new York, mettant en oeuvre des avions détournés. Certaines personnes, forcément bien placées dans ces services secrets US, ou ayant des « antennes » dans ces services, décident de profiter de l’occasion pour monter une opération de désinformation colossale.  Son but (ou au moins l’un de ses buts) est de permettre aux troupes américaines d’envahir l’Afghanistan, puis un an et demi plus tard l’Irak en toute quiétude et de mettre la main sur leur pétrole. Qui sont ces personnes ?  Il est difficile de le dire. Il n’est pas certain que GW Bush ait jamais su de tous les détails. En revanche, de forts indices (voir plus loin) indiquent que le vice-président Dick Cheney était probablement au courant, de même que les services secrets israéliens. Mais attention, les personnes qui étaient « au courant » ne sont pas forcément les auteurs du plan. Faute de mieux pour le moment, appelons les personnes qui ont monté cette horrible machination « le cartel ».  Ces gens décident froidement de surenchérir sur l’idée d’al-queida et de transformer un « simple » attentat en une tragédie volontairement organisée pour secouer le monde entier.

Al Queida prévoyait « seulement » une attaque contre la maison blanche au moyen d’un avion civil détourné. Les membres du « cartel » décident de donner plus bien d’ampleur à l’attentat, et d’y ajouter une attaque contre les twin towers et le pentagone. L’heure de l’attentat est choisie pour « minimiser » le nombre de victimes (il y en a eu 3000, mais les twin pouvaient abriter 50000 personnes chacune à l’heure de pointe) tout en lui conférant l’ampleur médiatique maximale. Le centre de commandement de l’opération est choisi :  le building 7 du world trade center, qui abrite les services secrets US (étages 9 et 10), le DOD (étage 25) et la CIA (étage 25 également), ainsi que les services d’urgence de la ville de new york (étage 23). Cerise sur le gâteau, ce building sera également volontairement détruit, éliminant les témoins les plus gênants du même coup, c’est à dire ceux qui auront préparé les autres attentats ! Naturellement cette dernière opération n’est connue que d’un nombre restreint de personnes appartenant tous au « cartel ».

Cet immeuble 7, haut de 47 étages, appartient au magnat juif de l’immobilier Larry Silverstein, qui est probablement mis dans la confidence : en effet, quelques semaines avant les attentats, Silverstein signe, pour 3,2 milliards de dollars, un contrat de crédit-bail de 99 ans sur les twin towers. Cette opération équivaut pratiquement à une acquisition pure et simple, mais permet à Silverstein (investisseur privé) de profiter des avantages fiscaux et autres dont bénéficiait le propriétaire initial (Port Authority of New York and New Jersey – un organisme public). La valeur réelle du WTC était en fait bien supérieure aux 3,2 milliards. Le WTC étant assuré pour 3,5 milliards « par sinistre », Silverstein s’efforce actuellement (2005) d’obtenir de l’assureur Swiss Re le double de cette somme, sous prétexte que deux avions ont percuté les tours. Business is business… Silverstein est-il membre du Cartel ? Mystère.

Le cartel, aidé par certains membres des services secrets américains, commencent à monter l’opération : Ils prévoient de laisser les terroristes d’Al Queida détourner deux avions, mais ces avions seront équipés secrètement de télécommandes permettant de les piloter à distance. (En fait quatre avions seront équipés ainsi, mais le plan initial n’en prévoyait que 2) Deux émetteurs de « homing » sont dissimulés dans les twins, et un dans le pentagone (peut-être un aussi dans la maison blanche).   De plus, comme le savent bien tous les architectes, la structure en acier des Twins ne permet pas de s’effondrer suite à un incendie, fut-il provoqué par le crash d’un avion. Les tours seront donc préalablement équipées avec des explosifs qui seront déclenchés après l’impact. Pour le building 7, cela avait probablement déjà été fait… au moment de la construction.

Outre silverstein, un groupe de magnats juifs est mis dans la confidence par le mossad. Arrivent-ils à contacter le Cartel ? Ou certains de ces hommes en font-ils partie ? Quoi qu’il en soit le Cartel décide de modifier un peu son plan afin de pouvoir gagner de l’argent au passage.

Le plan comporte maintenant 4 niveaux de sécurité :

  • Un niveau 1, « public » : On fera croire à un attentat d’Al-Queida monté par Ben Laden.
  • Un niveau 2, « secret » : On fera croire à ceux qui sont habilités à ce niveau que les préparatifs de l’attentat étaient connus, mais qu’il sera déjoué et que les avions seront télécommandés pour atterrir sains et sauf et permettre la capture des pirates. Les pilotes des avions étaient dans la confidence à ce niveau : jusqu’au dernier moment, ils ont cru qu’ils allaient s’en sortir. Il est probable que certains des occupants du building 7 étaient habilités à ce niveau.
  • Un niveau 3 « top secret » : On prévoit la destruction des twin towers, et du pentagone, afin de créer un choc sur l’opinion américaine et internationale pour permettre l’envahissement de l’irak. Bush était probablement accrédité à ce niveau, de même que les personnes qui travaillaient au centre de commandement du bâtiment 7 du WTC.
  • Un niveau 4 « ultra top secret » : Il prévoit la destruction du bâtiment 7 en plus des twins, afin d’éliminer les personnes accréditées au niveau 3, Ainsi que celle de la maison blanche si besoin était (c’est à dire si Bush n’est pas coopératif). Le plan prévoit que les destructions de ces deux dernières cibles seront assurées par des missiles, et non par des avions, et que les deux derniers avions seront téléguidés au dessus de la mer et détruits en vol par explosion d’une charge dissimulée à bord. Afin de plaire aux dirigeants de compagnies pharmaceutiques qui font parties du cartel, une « intox à l’antrax » sera également déclenchée.
Dick Cheney était-il habilité à ce niveau ? Ce qui est sûr, c’est qu’en mai 2001 la responsabilité directe pour superviser l’ « intégration complète » de tous les exercices d’entraînement du gouvernement fédéral et des agences militaires lui a été confiée par mandat présidentiel.

A la demande de Bush, les membres de la famille Ben Laden, qui sont ses amis (mais si !), ne seront pas inquiétés. Seul Ossama sera désigné comme coupable, mais il obtient des garanties pour sauvegarder sa vie et une partie de ses biens. En juillet 2001, deux mois avant l’attentat du World Trade Center, Oussama Ben Laden avait encore d’excellents contacts avec ses anciens amis et protecteurs de la CIA.

Préparatifs

salle de contrôle radar

  • La matinée du 11 septembre 2001 a commencé par plusieurs exercices de simulation de situation de guerre que Dick Cheney, selon son mandat présidentiel, avait la responsabilité de superviser.
  •   Les simulations de guerre et exercices d’alertes terroristes incluaient des exercices en conditions réelles avec des avions militaires jouant le rôle d’avions civils détournés au-dessus des États-Unis, ainsi que des exercices de simulation qui consistaient à placer des « faux blips » (signaux radar indiquant des avions qui sont en réalité virtuels) sur les écrans de contrôle aérien de la FAA. L’un des exercices, appelé Northern Vigilance, a mobilisé des chasseurs de l’Air Force au Nord jusqu’au Canada lors d’une simulation d’attaque aérienne russe, de sorte que très peu de chasseurs demeuraient sur la côte Est pour réagir. Tout cela a paralysé la réaction de l’Air Force, de manière à ce que les pilotes de chasseurs ne puissent pas arrêter les événements du 11 septembre.
  •   Un individu inconnu ou centre de commandement désigné sous le nom de « maestro » par le Major Don Arias du NORAD a coordonné les exercices de simulation. Il est possible qu’il y ait eu plus qu’un maestro, mais personne n’est disposé à donner de noms. FTW a posé la question à toutes les personnes occupant un poste gouvernemental ou militaire et en mesure d’y répondre, mais en vain. Il semble que le maestro était soit Dick Cheney, le général Ralph « Ed » Eberhart ou les deux.
  •   La personne qui coordonnait les exercices de l’Air Force était sous la supervision et la direction de Dick Cheney, qui était également responsable d’une simulation d’attaque terroriste organisée sur la rive ouest de Manhattan le 11 septembre et appelée Tripod 2. Cette simulation impliquait la mise en place, le 11 septembre, d’un centre de contrôle et de commandement configuré exactement comme celui détruit ce matin-là avec le bâtiment 7 du World Trade Center. Pratique, n’est-ce pas ?
  •   Dick Cheney était l’un des principaux responsables gouvernementaux ayant décidé que des simulations d’une telle envergure auraient lieu le 11 septembre. Ceci alors que les services de renseignement états-uniens avaient reçu des douzaines d’avertissements en provenance de gouvernements et d’agences de renseignement indiquant que des terroristes projetaient de détourner des avions civils et de les faire s’écraser sur des cibles états-uniennes au sol durant la semaine du 9 septembre 2001.

La veille des attentats, on a enregistré un nombre anormalement élevé de contrats d’options de vente portant sur l’action American Airlines (60 fois plus qu’un jour normal). Les opérateurs inconnus qui ont acquis ces options se sont ainsi réservé la possibilité de vendre, fin octobre, au prix unitaire de 30 dollars, des titres qu’ils ne possédaient pas encore le 10 septembre (le cours était alors de 29 dollars). Ces titres, ils ont pu les acheter pour 18 dollars quelques jours plus tard, après que la bourse se soit effondrée. Bénéfice de l’opération : 12 dollars par action, à multiplier par x millions.

American Airlines n’a pas été la seule société ayant fait l’objet d’une telle spéculation à la baisse de la part d’initiés au courant de l’imminence des attentats. United Airlines, l’autre compagnie aérienne touchée ce jour-là, a vu le nombre de contrats d’option de vente multiplié par 75, et le volume en dollars multiplié par 285. Par contre, Delta Airlines, épargnée par les attentats, n’a pas intéressé les spéculateurs.

Les titres de compagnies frappées par les événements du 11 septembre, comme le réassureur Swiss Re (voir plus haut) ou des locataires du WTC (Citigroup, Morgan Stanley), ont connu un « attrait » similaire.

Comme le requiert la loi, des enquêtes ont été ouvertes aux États-Unis et ailleurs, mais – on s’en doutait un peu – elles n’ont pas abouti. Il serait intéressant de savoir quel rôle Carlyle, le financier commun des Bush et des Ben Laden (voir plus haut), a joué dans cette affaire.

Le 9 septembre le général Ahmed Shah Massoud, chef de l’alliance du nord afghane, est assassiné (par les services américains ?), laissant la voir libre à l’invasion de l’Afghanistan.

Des membres du « Cartel » se rendent, peu avant les attentats, sur la base militaire d’Offut, dans le Nebraska, à l’invitation de Dick Cheney. Offut est le véritable centre de commandement de l’opération, de niveau 4.

Les détournements d’avions

les terroristes présumés du 11 Septembre 2001

Un certain nombre de terroristes dont les noms sont connus – mais n’apparaissent pas sur les listes de passagers – parviennent à déjouer simultanément les contrôles de trois aéroports différents. Explication probable :

Les Bush sont impliqués, aux côtés de la famille royale koweïtienne, dans une société Stratesec (anciennement Securacom), une entreprise qui était censée assurer la sécurité du World Trade Center, de la compagnie United Airlines (qui a perdu deux avions le 11 septembre) et de l’aéroport de Washington (d’où a décollé le Boeing qui se serait écrasé sur le Pentagone). Marvin Bush, un des frères du « président » était directeur de Stratesec. Inutile de préciser qu’aucune enquête officielle n’a été effectuée afin d’éclaircir ces étranges « coïncidences ».

Mais il y a mieux encore : la société israélienne ICTS s’occupe du contrôle des passagers dans plusieurs aéroports américains (dont Boston, d’où sont partis deux des avions du 11 septembre) ; elle est également présente dans de nombreux aéroports d’Europe (dont Roissy). Le personnel d’ICTS se recrute parmi les anciens agents du Shin Beth israélien, ce qui permet de faire passer à bord de n’importe quel avion autant d’armes et de « terroristes arabes » que l’on veut – on n’est jamais si bien servi que par soi-même.

ICTS Technologies, une filiale du groupe, a mis au point un système permettant de détecter les « individus suspects » dans les aéroports avant même qu’ils ne se présentent au guichet d’enregistrement. La compagnie ne précise pas sur quels critères est basée cette technique de dépistage, mais il est probable qu’une personne ayant le « type arabe » a plus de chance d’éveiller les soupçons que… disons un Norvégien. Il est recommandé aux Juifs au « faciès oriental » de bien ouvrir leur col de chemise pour que l’homme du Shin Beth puisse voir leur étoile de David et qu’il ne les confonde pas avec de vulgaires goyim potentiellement terroristes.

trajectoires des avions le 11 Septembre 2001
A 8 h 20, le premier avion (AA 11 Boston-Los Angeles) se trouve au-dessus d’Albany, à quelque 250 km au nord de la ville de New York. Au lieu de maintenir le cap en direction de l’ouest, l’appareil effectue un virage à 90 degrés vers le sud. L’US Air Force aurait dû être au courant de cette anomalie quelques instants plus tard, soit vingt-cinq minutes avant le premier crash. De deux choses l’une : ou bien les mesures de sécurité valables en pareil cas n’ont pas fonctionné (pour quelle raison ?), ou bien les événements ne se sont pas du tout déroulés comme on nous le décrit. (image source: Time Magazine)

Peu avant neuf heures, nouvelle anomalie: le deuxième avion (UA 175 Boston-Los Angeles) dont l’itinéraire de vol passe plus au sud, est à quelques dizaines de kilomètres à l’ouest de New York, mais au lieu de poursuivre sa route, il dévie vers le sud, puis vers le nord-est en direction du WTC. Le premier crash a eu lieu dix minutes plus tôt; la FAA et l’US Air Force sont censées être en état d’alerte depuis trente-cinq minutes. Et pourtant, rien n’est fait pour empêcher une répétition de la catastrophe.

A peu près à la même heure (quelques minutes avant neuf heures), le troisième avion (AA 77 Washington-Los Angeles) qui survole alors le sud de l’Ohio, fait subitement demi-tour. Là non plus, personne ne semble prendre la chose au sérieux. L’appareil parcourt sans encombre les 500 kilomètres qui le séparent de la capitale et s’écrase sur le Pentagone quarante minutes plus tard. Une heure et quinze minutes se sont écoulées depuis la première alerte. Ce n’est que quelques minutes après que les premiers chasseurs décollent de l’Andrews AFB, une base militaire située à quinze kilomètres du Pentagone et dont le rôle est de protéger le siège du gouvernement.

Vers 9 h 25, le quatrième avion (UA 93 Newark-San Francisco), se trouve au sud de Cleveland, Ohio, lorsqu’il fait lui aussi un demi-tour presque complet, direction Washington. Il terminera sa course 45 minutes plus tard dans une zone rurale de Pennsylvanie, à 250 km de la capitale, une heure et cinquante minutes après la toute première alerte.

Est-il concevable que le système de défense de l’unique superpuissance mondiale ait montré de telles « lacunes » ? Si tel avait été le cas, gageons que bien des têtes seraient tombées. Il en fallait beaucoup moins pour que les responsables soient accusés de haute trahison et traduits devant des tribunaux militaires. Pourtant, il n’en a rien été : personne ne semble avoir été sanctionné, pas même le moindre petit lampiste.  Qui a donné l’ordre de non-intervention ?… (Intercepter des appareils civils « dévoyés » est chose courante pour l’armée de l’air américaine. Rien qu’en 2001, avant le 11 septembre, on a enregistré 62 opérations de ce genre. Jamais le délai d’intervention n’a excédé dix à quinze minutes.)

Sur son site Internet, la FAA se décerne elle-même des lauriers pour son action du 11 septembre, menée selon elle avec ingéniosité, compétence et audace (« ingenuity, skill and guts »). Bien sûr, elle ne fait pas allusion à ce qui s’est passé entre 8 h 20 et 10 h 10 ce matin-là, mais au fait qu’elle ait « réussi à faire atterrir en toute sécurité les 4500 avions qui se trouvaient dans l’espace aérien des États-Unis » lorsque celui-ci a été fermé à tout trafic, une fois que tout était terminé.

  • Comment sait-on que les avions ont été détournés ? Les seules « preuves » reposent sur des appels téléphoniques effectués par certains des passagers. L’appel de Barbara Olson, une commentatrice de CNN qui se trouvait à bord du vol AA 77 (Pentagone), est décisif pour la version officielle des faits. Malheureusement, il est fortement sujet à caution. Barbara Olson, dont on nous dit qu’elle avait oublié chez elle son téléphone mobile et ses cartes de crédit, aurait passé un coup de fil en PCV à son mari, Théodore Olson, qui est procureur général des USA*. Or, il est techniquement impossible d’utiliser les téléphones de bord encastrés dans les dossiers des sièges, sans y introduire au préalable une carte de crédit. Un appel en PCV est par conséquent inutile et exclu. En outre, le fait qu’un indice aussi essentiel nous soit communiqué par un homme proche du pouvoir peut paraître pour le moins étrange, quand on songe à la manie du secret qui prévaut dans tous les domaines. On ne serait pas étonné d’apprendre qu’il s’agit là d’une « fuite » intentionnelle. Pour ce qui est des autres appels, provenant paraît-il de téléphones mobiles, il est plus que douteux que de telles communications soient réalisables depuis un avion volant à 10.000 mètres d’altitude, à la vitesse de 800 km/h – voir les résultats de tests effectués par le professeur canadien A. K. Dewdney. **

  • Si la version officielle est vraie, comment des hommes armés de couteaux en plastique ou de cutters ont-ils pu s’emparer de quatre avions ? Et si d’autres armes ont été utilisées, qui les a placées à bord ?

  • Comment trouver quatre candidats au suicide capables de piloter des Boeing ? Quelques heures de vol sur un Cessna ne devraient pas suffire, d’autant que les écoles américaines où les mystérieux kamikazesont, semble-t-il, pris des leçons s’accordent à souligner leur manque total d’aptitude. Si des « terroristes arabes » étaient vraiment aux commandes des avions du 11 septembre, quelle compagnie aérienne, quelle armée de l’air a assuré leur formation ? Il est beaucoup plus réaliste d’imaginer que les avions ont en réalité été télécommandés de l’extérieur, et guidés par homing vers des radio balises préalablement placées dans les cibles (les 2 tours jumelles, le pentagone, la maison blanche). Les pirates ont été pris à leur propre piège par plus malins qu’eux…

  • Pourquoi les pilotes n’ont-ils pas alerté le contrôle aérien dès que les détournements se sont produits ? Tout pilote de ligne sait qu’à la moindre suspicion d’acte terroriste, il doit modifier le code transpondeur et l’avion (le code qui sert à l’identifier sur les écran radar) et émettre le code 7500, « HJCK » : il suffit de tourner une molette sur le tableau de bord. Pourquoi ne l’ont-ils pas fait ?

Les tours jumelles

A 8h46 et 40 secondes, heure de new york , la tour nord du WTC est frappée par le vol 11 de United Airlines, entre le 93ième et le 99ième étage. Un peu plus tard, les autorités du port de New York annoncent que le bâtiment 2 est en sécurité et qu’il est inutile de l’évacuer… Plusieurs dizaines de personnes remontent dans leur Bureau… A peine plus tard, à 9h03, le vol UA 175 Percute la tour Sud au niveau du 78ième étage. Comme la première, cette tour prend feu mais ne s’effondre pas immédiatement (elle ne le fera qu’à 10h28) : à peine si elle s’est légèrement balancée au moment du crash.  Pourquoi ? Parce ce que ces deux tours avaient été conçues pour résister à un impact d’avion gros porteur. Les tours étaient extrêmement solides, avec une énorme armature d’acier dans le noyau central. Jamais elles n’auraient du s’effondrer, même après un incendie tel que celui qu’elles ont subi.

 

Regardez les images : Le fuselage de l’avion passe en fait à coté du noyau central, ne rencontrant sur son chemin que des cloisons et le béton des planchers. Les ailes et les réacteurs traversent aussi le bâtiment de part en part, et l’essentiel du kérosène, entraîné par son élan, ressort de l’autre coté et brûle en fait à l’extérieur du bâtiment, avec une intense fumée noire. Le peu de kérosène qui reste à l’intérieur brûle lentement faute d’oxygène, dégageant une chaleur de quelques centaines de degrés seulement, bien loin du point de fusion de l’acier : le noyau de la tour reste presque aussi solide qu’avant. Ce qui brûle ensuite jusqu’à l’effondrement, ce sont les documents, meubles etc, situés dans les bureaux. En aucun cas cela n’aurait subi à faire s’écrouler un immeuble en acier comme l’étaient les tour jumelles.

L’acier chauffé se déforme, il ne se déchire pas, ne s’effondre pas…  Pourtant, Les deux tours jumelles (et aussi la tour 7 du complexe WTC, qui n’avait pas été frappée par un avion) se sont bel et bien effondrées, toutes droites, sans se pencher, la tour 1 en premier, 56 minutes après l’impact… Pourquoi ? Il n’y a qu’une réponse possible : les trois tours avaient été sabotées préalablement aux deux impacts : des chapelets d’explosifs avaient été installés contre les piliers de soutènement. Bilan : 3000 morts.

Ici je vous entends dire : Impossible ! On ne peut proférer une affirmation aussi monstrueuse sans preuves. OK, mais des preuves, il y en a !
Je ne suis pas seul à le dire : les trois tours n’ont pu s’effondrer que suite à des démolitions contrôlées, autrement dit un dynamitage (façon de parler car l’explosif utilisé a probablement été de la thermite, bien plus indiquée que la dynamite pour démolir une structure en acier). « Nous arrivons à une conclusion terrifiante : l’attentat aurait pu être organisé et orchestré par quelqu’un au sein du gouvernement américain », a déclaré Richard Gage, membre de l’Institut américain des architectes et principal auteur d’un appel à lancer une nouvelle enquête qui sera adressé au Congrès.  De nombreux témoins (118 au total !) disent avoir entendu (et même vu les éclairs) une série de détonations à la base des tours juste avant l’effondrement. Pour réaliser une telle démolition contrôlée, il faut cisailler avec un timing très précis de très nombreux éléments de structure du bâtiment au moment où il s’effondre, mais il faut aussi couper net ces structures à la base de l’édifice. sur certains films pris par des témoins, on voit très nettement de la fumée monter de la base de la tour qui se situe au premier plan alors que les supposés avions de ligne ont frappé les deux bâtiment à une grande hauteur.

Regardez : on voit très bien les poutres coupées net. Aucun incendie ne peut provoquer des résultats pareils. Au contraire, ce genre de coupure nette est typique d’une procédure de démolition contrôlée à la thermite, en utilisant la technique de la « charge creuse ».

Les tours jumelles du World Trade Center de New York se sont effondrées suite à des explosions, et non pas en raison de l’incendie qui s’est déclenché après que les avions détournés par les terroristes se sont écrasés sur le bâtiment, selon un groupe d’experts.

« L’affaissement des tours jumelles possède toutes les caractéristiques d’un effondrement dû à une explosion, et rien ne laisse penser qu’il ait été provoqué par un incendie », ont affirmé les experts du groupe « Architectes et ingénieurs pour la vérité sur les attentats du 11 septembre ». Auparavant, l’enquête avait conclu que l’incendie avait provoqué l’effondrement des tours.

Selon les experts, le fait que les tours se sont effondrées très rapidement confirme la version selon laquelle les tours ont explosé après le choc provoqué par les avions

En outre, les bruits d’explosions à l’endroit de l’impact des avions ont duré une seconde et des éclairs étaient visibles, ce dont peuvent témoigner les 118 personnes interrogées ainsi que des journalistes.

La pulvérisation du béton dans les airs, les nuages de poussière et le fait que les structures des bâtiments n’ont pas empêché l’effondrement, « qui s’est produit en chute libre », confirment également le fait que les tours jumelles ont explosé. En outre, selon les experts, c’est ce dont témoigne également l’onde de choc qui s’est étendue jusqu’à cent mètres du point d’impact, et la destruction presque intégrale des bâtiments.

Sur le lieu de l’effondrement, sous les décombres, les pompiers ont découvert quelques tonnes de métal fondu et figé, ce qui ne pouvait avoir lieu que suite à l’utilisation d’un mélange explosif contenant de la thermite. Le kérosène, même en énorme quantité, ne peut pas atteindre une température suffisante pour fondre l’acier comme cela..

En outre, le professeur Steven Jones a découvert des traces de thermite, matière utilisée dans l’armée, dans le métal figé et dans les prélèvements de poussière réalisés sur le lieu de l’effondrement des tours.

Les experts du département américain de déminage ont noté une oxydation et une fusion inter-granulaire extrêmement rapide du métal.

La théorie de l’explosion est encore confirmée par le fait qu’environ mille corps n’ont pas été retrouvés, et que 700 fragments d’os ont été découverts sur les bâtiments environnants. De plus, pas un seul cas de destructions liées à l’incendie n’a été recensé.

« Six ans après, nous ne connaissons pas encore toute la vérité sur ce qui s’est passé ce jour-là. Mais nous sommes sûrs d’une chose: la version officielle soutenue par l’administration Bush et la commission 9/11 est erronée. C’est faux, nous le savons », a déclaré Bob Bowman, expert en sécurité nationale.

cf http://www.agoravox.tv/article.php3?id_article=21050

fin 2008, Aux États-Unis, « Les Scientifiques pour la vérité sur le 11 septembre » (Scholars for 9/11 Truth), contestent la version officielle des attentats du 11 septembre, qui selon eux, « viole les principes de la physique et de l’ingénierie ».

Après plusieurs années de recherche, de publication d’articles et de livres, cette association d’universitaires, regroupant des personnalités du monde scientifique et militaire, est persuadé que le World Trade Center n’a pu être détruit que par démolition contrôlée.

Leurs enquêtes les ont convaincu que le gouvernement états-unien n’était pas seulement au courant de ces attentats, mais les a planifié. Ils tentent désormais par tous les moyens d’informer leur peuple par l’organisation de conférences et la diffusion d’articles.

Cette association, qui regroupe une cinquantaine de personnalités a été fondée par David Ray Griffin, ancien professeur de théologie, auteur de The New Pearl Harbor (2004) et The 9/11 Commission report : omissions and distorsions (2004).

Elle est animée par Morgan Reynold, professeur émérite d’économie à l’Université A&M du Texas, ancien conseiller du président Georges W.Bush.

Elle est soutenue par Andreas Von Bülow, ancien ministre allemand de la recherche et des technologies, auteur de Die CIA und der 11. September. Internationaler Terror und die Rolle der Geheimdienste et membre d’Axis for Peace.

En 2005, le milliardaire Jimmy Walter avait offert 1 million de dollars à qui prouverait que les Tours jumelles auraient pu s’écrouler sans recours à des explosifs. Même les experts officiels avaient renoncé à concourir. Le prix n’a jamais été réclamé.

Le comportement de GW Bush

Bush a Saratosa le 11 septembre

Ce jour-là, Bush se produit dans une école primaire de Sarasota (Floride). Des écoliers de deuxième année (CE1) montrent au « président » ce dont ils sont capables. Le visiteur s’étonne : « Ils lisent vraiment très bien, on dirait des élèves de sixième. » GWB – qui, comme chacun sait, n’a pas inventé l’eau chaude – doit songer à ses propres difficultés lors de l’apprentissage de la lecture, vers l’âge de dix ans…

A 9 heures 05, un homme de sa suite vient lui chuchoter quelques mots à l’oreille. Il lui annonce sans doute qu’un avion s’est écrasé sur la tour nord du WTC* vingt minutes plus tôt, et un autre sur la tour sud il y a tout juste deux minutes. Bush, impassible, ne manifeste aucune réaction. Les caméras, toujours présentes, ont filmé la scène; elles nous montrent un regard « présidentiel » vide et inexpressif. « Sombre » diront les journalistes serviles. L’image qu’offre Bush au monde entier à cet instant est celle du parfait abruti. Les conseillers de la Maison Blanche ont dû penser que le tableau était propre à émouvoir l’Amérique – ce qui en dit long à la fois sur les conseillers et sur l’Amérique…

Selon certains journaux, Bush aurait été informé du premier crash en arrivant à l’école ou juste avant. Si c’est bien le cas, son comportement n’en est que plus étrange.

Quoi qu’il en soit, la nouvelle qu’on vient de communiquer au « président » n’est pas assez importante pour qu’il interrompe sa visite. Pendant vingt bonnes minutes, il va continuer de bavarder avec les enfants de Sarasota. Entre l’histoire d’une gentille petite chèvre et la tragédie de New York, l’homme « le plus puissant de la planète » a opté pour la chèvre.

Quelques minutes après 9 heures, le Pentagone savait déjà que trois avions avaient été détournés et que deux d’entre eux avaient détruit les plus grands gratte-ciel de New York. Plus qu’il n’en fallait, donc, pour déclencher sur-le-champ l’état d’urgence le plus complet qui soit – et pour que le « président et commandant en chef des armées » accorde toute son attention aux développements en cours. Mais de toute évidence, rien de tel ne s’est produit… A 9 h 30, après intervention de ses conseillers, Bush se réveille et tient une conférence de presse au cours de laquelle il annonce ce que tout le monde sait déjà depuis trois quarts d’heure.

Ce comportement étrange donne à penser que certains responsables savaient d’avance ce qui allait se passer et qu’ils ont veillé à ce que Bush ne soit mis au courant de la situation réelle que peu à peu, et avec un certain retard.

Ce qui n’empêchera pas le mythomane de la Maison Blanche de prétendre quelques mois plus tard qu’il a vu sur un écran de télévision, à son arrivée à l’école de Sarasota (c’est-à-dire vers 8 h 50 – 8 h 55), des images montrant le premier Boeing en train de percuter la tour nord du WTC – alors que de telles images n’ont été diffusées que plus tard.

An Interesting Day – une compilation très détaillée réalisée par Allan Wood et Paul Thompson (Center for Cooperative Research). On notera que quelques minutes après le premier crash, alors que radios et télévisions venaient à peine d’annoncer ce qu’elles considéraient comme un accident, George Tenet, le chef de la CIA, savait déjà qu’il s’agissait d’une attaque et qu’il fallait y voir l’oeuvre de Ben Laden.

Après avoir quitté Sarasota, l’avion présidentiel Air Force One prend d’abord la direction de Washington, mais est redirigé vers la base militaire de Barksdale (Louisiane). Malgré l’extrême danger qui menace l’Amérique ce jour-là, aucune protection aérienne n’est prévue pour le numéro un. Ce n’est que deux heures plus tard que les premiers F-16 seront disponibles. Ils viennent d’Ellington (Texas), alors que les chasseurs basés en Floride auraient pu et dû rejoindre Sarasota en quelques minutes.

On ignore ce que Bush est censé faire à Barksdale – peut-être prendre un hélicoptère pour Crawford (Texas) où se trouve son ranch ?… Apparemment non, car deux ou trois heures plus tard, son avion repart – sous bonne escorte cette fois – vers la base militaire d’Offut (Nebraska), une base qui dispose d’un abri antiatomique.* A quoi rime cette odyssée ? Veut-on effrayer Bush pour mieux le « protéger » ?   Faire pression sur lui, lui expliquer ce qu’il doit faire, éviter qu’il ne commette quelque bévue gênante pour ceux qui tirent les ficelles ?…   Qui sont ces gens ?…   Toujours est-il que dès qu’ils ont la situation bien en mains, Bush refait surface, revient à Washington et reprend son rôle de « président ».   Le « vice-président » Cheney disparaît lui aussi, mais contrairement à son « chef », il reste « caché ». Comment faut-il interpréter cette disparition ?   (Certains commentateurs américains suggèrent avec un clin d’oeil que Cheney met à profit ses loisirs forcés pour détruire tous les documents compromettants qui prouvent sa responsabilité dans les scandales Halliburton et Enron.)

* A l’heure où ont lieu les attentats de New York, une étrange réunion se déroule sur cette base militaire d’Offut. Le multimilliardaire Warren Buffett, la 2ème fortune des USA, y reçoit les principaux PDG de grandes sociétés ayant leurs bureaux au WTC, pour une « rencontre de bienfaisance ». George W. Bush les rejoint dans l’après-midi.

Le bâtiment 7

L’effondrement spectaculaire des tours jumelles a un peu occulté celui du bâtiment WTC 7, bien moins connu en France. La tour 7 faisait 200 mètres de haut et 41 étages (en gros, l’équivalent de la tour montparnasse à Paris). Elle n’a été percutée par aucun avion. Elle s’est effondrée sur elle-même 7 heures après la seconde tour, en moins de 7 secondes, sans raison apparente. Pourtant, aucune mention de cet effondrement ne figure dans le rapport de la commission d’enquête.  Sept ans plus tard, le gouvernement n’a toujours pas publié (alors qu’il l’avait promis) le rapport sur cet effondrement.

Le bâtiment abritait exclusivement des agences gouvernementales et des institutions financières. On peut citer le conseil régional de l’IRS (service des impôts américains), les services secrets US (qui occupaient 2 étages, les 9 et 10) , la CIA, la « securities & exchange Commission » (commission de contrôle boursière), et… le centre de gestion de crise de la ville de New York au 23 ième étage. Cet étage avait été renforcé, avec des vitres pare-balles et une alimentation en eau et électricité autonome. Curieusement, le Maire Guiliani et son entourage ont choisi de gérer la crise du 11 septembre depuis un autre quartier général.

La cause officielle de l’effondrement du building 7 est l’incendie. Mais il se trouve que, jamais, dans toute l’histoire des gratte-ciels, un gratte-ciel à architecture métallique (comme l’était le « 7 ») ne s’est effondré suite à un incendie. Le fer résiste au feu.  Les pompiers le savent bien, et ils ont pour consigne, lors de l’incendie d’un bâtiment à architecture métallique, de pénétrer sans hésitation à l’intérieur pour sauver des rescapés et éteindre le feu. L’effondrement du bâtiment 7 nécessitait donc une étude sérieuse. Non seulement celle-ci n’a pas eu lieu, mais  tous les débris ont été évacués très vite, bien plus vite que ceux des autres tours. Les débris métalliques ont été vendus à une société asiatique et ont quitté le pays. Plus aucune preuve de dynamitage… pratique.

De plus, alors que ce bâtiment est relativement large, l’effondrement est totalement symétrique. Le bâtiment s’est affaissé littéralement sur lui-même. Si l’incendie en avait été la cause, une partie aurait du céder d’abord, le reste ensuite, entraînant un effondrement non symétrique. Au contraire, lors d’une destruction contrôlée, l’effondrement est symétrique. De plus, la termithe,  capable de créer une température de 2000°C, est la seule source de chaleur capable d’expliquer le fait que, plusieurs jours après l’effondrement, il subsistait des morceaux de fer fondu et encore rougi ! Dans les démolitions contrôlées, on ajoute généralement du sulfure pour accélérer l’effet destructif sur de l’acier (on appel cet explosif de la thermate). Or du sulfure a été détecté dans les débris.

Il est probable que, compte-tenu de ses occupants un peu particuliers, le bâtiment 7 avait été « pré-câblé » avec des explosifs en vue de sa destruction future. Après tout, les suisse ont bien installé des explosifs dans  leurs tunnels routiers pour pouvoir les détruire en cas d’invasion ;  (c’est peu connu, mais c’est vrai).. Le 15 septembre 2006, Georges W Bush commet un singulier Lapsus en indiquant qu’il y avait des bombes dans les tours du WTC…

Hypothèse : L’ implosion de l’immeuble par des explosifs est télécommandée depuis l’extérieur. L’effondrement du building permet d’éliminer tous ceux qui sont au courant de la machination, tout du moins de son premier volet. Une atrocité de plus.

Le pentagone

crash sur le pentagone, 11 septembre 2001
Il parait pratiquement impossible de continuer de prétendre que c’est un Boeing 757 qui a frappé le Pentagone. De nombreuses personnalités américaines mettent cela en doute. L’analyse du plan du vol  AA77, déduite des données de ce qui est censé être la boite noire de l’appareil (fournie par les officiels américains 3 ans après l’évènement) cadre aussi mal avec un détournement de cet appareil, en quatre minutes, par des terroristes  » armés de cutters « .  La photo ci-dessus a été prise le lendemain du 11 septembre. Le gazon intact juste après l'attaque du 11 septembre sur le pentagone

L’effondrement du bâtiment est dû à l’incendie qui s’est allumé après l’impact. En réalité l’impact en lui-même n’a pas causé énormément de dégâts.

La photo juste en dessous montre que le gazon devant le bâtiment était… intact juste après l’impact. Où est l’avion ? On sont les débris des ailes et des réacteurs ? Aucune trace.

Si ça n’est pas un Boeing 757 qui a frappé le Pentagone serait-ce, si on en croit le fameux lapsus de Rumsfeld : « they shot down the plane over pensylvania », et l’opinion de militaires américains un … missile ? Dans ce cas, des terroristes islamistes auraient-ils été capables de mettre en oeuvre un missile de croisière (par exemple du type Tomahawk) à partir du territoire américain, lequel aurait opéré son approche finale au ras des toits avant de frapper le Pentagone, à une altitude de l’ordre du mètre ? Cela paraît douteux.

Si on regarde alors avec ce même scepticisme les autres  » cas de détournements  » on relève un lot impressionnant de faits intrigants et suspects. Les appareils qui ont frappé les tours du World Trade center étaient-ils réellement des avions de ligne ? Si oui, pourquoi l’un d’eux portait-il sous le ventre un objet aussi protubérant ? Que sont devenues les boites noires de ces deux appareils ? Pourquoi cette lueur, captée par trois caméras vidéo situées en trois points différents, apparaissant sur la paroi du bâtiment, une fraction de seconde avant l’impact ?  Où sont les traces des impacts des ailes et des moteurs ?

Hypothèse ; le vrai vol AA77 aurait été en réalité abattu en vol au dessus de l’Ohio, car il ne ne suivait plus sa trajectoire (c’est à dire en fait ni la trajectoire de son plan de vol,  ni celle qu’il aurait dû suivre dans le scénario de détournement imaginé par le Cartel). C’est un missile américain qui a frappé le pentagone, et on fait croire qu’il s’agit du vol AA77. Mais pourquoi ? Pourquoi vouloir à tout prix démolir une partie du pentagone ?  La réponse réside peut-être dans cette question : les occupants de la partie détruite seraient  précisément les militaires au courant des actions du Cartel. Comme pour le building WTC 7, une autre manière d’éliminer les témoins gênants…

Le Vol UA93

Les 41 passagers et membres d’équipage du vol United Airlines 93 sont, pour les américains, des héros : ils décidèrent de faire le coup de poing en vol contre les pilotes-suicides. Le quatrième avion détourné n’atteignit jamais sa cible et fut retrouvé pulvérisé sur une colline de Pennsylvanie, entre Pittsburgh et Philadelphie.

Ce matin-là, c’est par téléphone portable que le Boeing 757 de la ligne Newark-San Francisco apprend que deux autres avions civils ont percuté les tours de Manhattan. Dans le cockpit, Al Qaida a déjà pris les commandes. Les passagers se savent condamnés. Ils décident de reprendre le contrôle de l’appareil. Par téléphone encore, ils préviennent le sol. Parmi eux, Todd Beamer, hommes d’affaires de 32 ans, lance son fameux «Let’s roll!» (En Avant!)
le cratère d'impact du soit disant vol UA93 le 11 septembre 2001
La première interrogation est la cible assignée à l’appareil. Était-ce la Maison Blanche? Dans ses derniers moments, l’appareil suivait un cap qui aurait pu l’amener à Washington. Mais George W. Bush était à Sarasota, en Floride, ce que les pirates savaient sans doute.

Les circonstances de la destruction du Boeing 757 suscitent le second mystère. S’est-il écrasé? A-t-il explosé? A-t-il été détruit? Le courage des passagers est établi. Ce qui est moins sûr, quitte à gêner la légende, c’est l’aboutissement de leur projet. Pour la presse américaine, il fait peu de doute qu’il y a eu lutte à bord et que dans la confusion, l’avion a fini par percuter la colline de Shanksville.

Reste un long blanc dans les communications qui précèdent la fin. Les autorités fédérales ont récupéré l’enregistreur de vol, mais gardent secrètes les huit dernières minutes. Un scénario alternatif est que les pirates, dépassés, ont fait sauter l’avion en vol.

L’autre serait plus embarrassant: un des chasseurs F- 16 a décollé de la base aérienne d’Andrews (Washington) à 9h35, à peu près au moment où le Boeing 757 est apparu détourné. A vitesse supersonique, le F- 16 aurait eu le temps d’intercepter le vol 93, finalement porté manquant à 10h06, à 300 km de la capitale. Plus tard, le vice-président Dick Cheney a confirmé que l’ordre était donné d’abattre tout appareil civil menaçant, ajoutant qu’il n’avait pas été nécessaire de l’exécuter.  La réalité est sans doute différente. Il est probable que le vol UA93 a été abattu par ce F16.

Mais pourquoi l’appareil qui s’est écrasé en Pensylvanie, au terme d’une chute parfaitement verticale, n’a-t-il laissé qu’un unique trou rond, très semblable à un cratère de bombe ? Où sont les traces des impacts des ailes et des moteurs ? Où sont les débris ? Ce n’est pas le moindre mystère dans ce dossier qui en compte des dizaines.

Après l’attentat

Il n’existe toujours pas de version officielle des attentats du 11 septembre 2001. Aucune enquête judiciaire n’a été ouverte sur les attentats eux-mêmes, ni d’enquête parlementaire d’ailleurs. Tout au plus dispose-t-on d’une version gouvernementale explicitée par un rapport rendu par une commission présidentielle. Le professeur David Ray Griffin, qui a consacré un ouvrage de référence à l’étude de ce rapport, y a relevé 115 mensonges dont il dresse ici la liste. Mais ce n’est pas tout :

  • Toute investigation concernant les membres de la famille et du groupe Ben Laden a été tuée dans l’oeuf. Les intéressés ont pu quitter discrètement le pays sans être inquiétés. Voir cet article du Guardian et ces autres liens.  Michael Moore en parle dans son film Fahrenheit 911.

  • Des fonctionnaires subalternes du FBI qui ont eu vent de certains préparatifs et les ont signalés à leurs supérieurs, n’ont pas été écoutés ou ont été priés de s’occuper d’autre chose. Comme le pense Andreas von Bülow, auteur du livre La CIA et le 11 septembre, cette passivité forcée face aux menées suspectes de militants islamistes couverts en haut lieu, a permis aux comploteurs de mettre en place en toute tranquillité les « indices » suggérant une culpabilité d’Al-Qaïda.

  • L’arrestation de suspects israéliens n’a été que de courte durée. Tous ont été remis en liberté, ont pu regagner leur pays, ou sont restés aux États-Unis. On ne touche pas au Mossad. Lire les détails dans cet article du journal juif new-yorkais Forward. (Cinq ressortissants israéliens « travaillant » pour une entreprise de déménagement leur servant de couverture, ont été arrêtés à Weehawken, dans le New Jersey, face à Manhattan, alors qu’ils fêtaient bruyamment l’attentat contre le WTC. Ce que Forward ne dit pas : c’est un certain Michael Chertoff, ministre de la « Justice » du New Jersey qui a fait relâcher les suspects. Chertoff deviendra en 2005 le patron de la Homeland Security. Et il est, lui aussi, sujet israélien. On voit que la « sécurité » des États-Unis est en bonnes mains.)

    Wayne Madsen, un des rares journalistes investigateurs américains de l’après-11 septembre, est connu pour ses enquêtes extrêmement minutieuses portant sur des questions bien précises. Dans cet article, The Israeli Art Students and Movers Story, il analyse en profondeur l’implication israélienne dans les attentats : déménageurs bidons, pseudo-étudiants des Beaux-Arts et autres « marchands de jouets », fichiers informatiques effacés « par inadvertance », bandes vidéo manipulées, espionnage électronique par l’entremise de sociétés israéliennes établies aux USA, activités suspectes, censure, pressions du lobby sioniste, etc… Quand des « terroristes arabes » sont quelque part, les tireurs de ficelles du Mossad ne sont pas loin. Ce très long article – plus de 400 ko – constitue une mine d’informations sur le sujet. Après l’avoir lu, il est impossible – à moins d’être de mauvaise foi – de nier la complicité des services israéliens dans les atrocités du 11 / 9.

Depuis 2005, c’est l’ensemble de la Homeland Security des États-Unis qui se trouve aux mains de l’état hébreu, puisque Michael Chertoff, le nouveau patron de ce super-ministère, possède la double citoyenneté américano-israélienne – voir plus haut. (Le père de Chertoff était rabbin et sa mère hôtesse de l’air de la compagnie El-Al.)

 

Le patriot Act

patriot act

La loi symboliquement baptisée USA Patriot Act et adoptée le 25 octobre 2001 presque sans discussion au Congrès, illustre le débat récurrent entre sécurité et liberté.

Depuis le 11 septembre 2001, le pouvoir administratif a incontestablement empiété sur le judiciaire, car c’est dans véritable contexte de terreur politique et de guerre que l’administration Bush vient empiéter sur les libertés individuelles au travers de l’ « arme guidée laser « (John Ashcroft, Ministre de la Justice) qu’est le Patriot Act. Celui-ci permet  aux autorités de faire toutes recherches « nécessaires » sur la vie privée de personnes « soupçonnées » de terrorisme. En clair, cette loi permet aux service secrets US d’espionner n’importe qui, n’importe quand, n’importe où, d’écouter toutes les conversations téléphoniques, etc. Il est bien évident que ceci est totalement contraire aux principes de démocratie dont se prévaut la nation américaine.

Hypothèse : Le patriot Act était l’un des buts du Cartel en organisant les attentats du 11 Septembre. Pour contrôler le monde, il était nécessaire de contrôler tout le monde. Les attentats pourraient avoir été organisés, en partie, pour faire passer une telle loi. Loin d’être une conséquence du 11 septembre, le Patriot Act pourrait bien être l’une de ses causes.

L’affaire de l’anthrax

Peu après les attentats du 11 septembre 2001, les États-Unis sombrèrent dans le terreur d’une attaque biologique. De mystérieuses lettres à l’anthrax (bacille du charbon) furent adressées à de célèbres journalistes puis au Congrès. Pour rassurer sa population, ou pour mieux l’affoler, le président Bush déclara ne pas avoir été contaminé. Cédant à la psychose, le pays suspendit une partie de ses activités. Mais ce désastre économique fut une aubaine pour quelques groupes pharmaceutiques liés au régime, qui détenaient le monopole des vaccins et des médicaments.

Hypothèse : Certains dirigeants de labos pharmaceutiques sont des membres du Cartel. Ils ont profité de la psychose post 11 Septembre pour faire des bénéfices, Un petit terrorisme dans dans un grand… Une autre bizarrerie : les membres du congrès visés par les lettres à l’antrax étaient ceux qui étaient opposés au Patriot Act… J’ai du mal à croire que ce soit une coïncidence !

C’est ainsi que, le 16 septembre, cinq jours seulement après les attentats, le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld, qui semble bien au courant, annonce qu’« une [nouvelle] attaque de terroristes peut arriver à tout moment. (…) Ils peuvent nous menacer de guerre chimique, biologique, de missiles ». Une telle hypothèse n’est pas nouvelle. Déjà, sous Bill Clinton, William Cohen, qui a précédé Rumsfeld à la Défense, évoquait « une hypothétique dispersion de germes d’anthrax dans le métro de la capitale Washington, qui ferait des dizaines de milliers de morts »

Source:sboisse.free.fr

 

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