Sous le couvert de l’anonymat, sur le suicide de son défunt collègue au marché Sandaga, Un camarade de promotion du policier Gabriel Blaise Basse se confie au journal L’Observateur.
« Blaise est comme un frère pour moi. Nous avons fait ensemble la formation à l’École nationale de police (…) Blaise ne fumait pas et n’a jamais bu d’alcool. Mais, je ne peux pas affirmer qu’il avait des troubles psychiques », indique-t-il.
Et de poursuivre son récit : « Seulement, une de ses tantes m’avait dit que Blaise, qui est de l’ethnie Manjack, était parfois sujet à ce type de crise qui aurait une explication mystique ».