Descendre du bus une station plus tôt, faire vos courses à pieds ou simplement sortir faire une promenade un dimanche après-midi sont autant d’exercices simples pour rester svelte, mais pas que. Une nouvelle étude de l’université de Göteborg, en Suède, menée par la Professeure Katharina Sunnerhagen, a démontré que la marche ralentit les risques d’AVC.
D’après ses recherches, les personnes victimes d’AVC marchant régulièrement pendant 35 minutes avant leur attaque sont plus susceptibles d’avoir un AVC moins grave que ceux qui ne marchent pas. L’étude s’est penchée sur 925 personnes, toutes ayant été victimes d’un AVC et étant âgées en moyenne de 73 ans. Ceux qui pratiquaient une activité sportive légère à modérée – c’est-à-dire marchant au moins quatre heures par semaine ou nageant, ou courant deux à trois heures par semaine – avaient moitié moins de risques de souffrir d’une attaque.
« Il existe un faisceau de preuves grandissant montrant que l’activité physique a un impact protecteur sur le cerveau et notre étude s’y ajoute, a déclaré la Professeure Katharina Sunnerhagen. Si le sport a un effet bénéfique sur notre santé de bien des façons, notre recherche montre qu’un effort sportif minime chaque semaine a un grand impact sur notre futur en réduisant la gravité d’un AVC. »
Source: Msn.com