Celui-ci a été publié au terme d’une longue réunion par visioconférence destinée à trouver une solution à la chute rapide des cours du brut, en raison de l’effondrement de la demande et de la guerre des prix entre l’Arabie saoudite et la Russie.
La pandémie de coronavirus a déséquilibré un marché où l’offre mondiale était déjà excédentaire, et où elle l’est désormais dans des proportions rarement vues, avec les restrictions aux déplacements prises partout pour éviter la propagation de la maladie (Covid-19).
Selon l’agence d’informations financières Bloomberg, Mexico trouve excessif l’effort qui lui est réclamé, comparé à d’autres pays.
Une nouvelle réunion est prévue le 10 juin, toujours en visioconférence, « pour décider de mesures supplémentaires, autant qu’il sera nécessaire pour équilibrer le marché ».
L’accord prévoit aussi un niveau de réduction de la production entre janvier 2021 et avril 2022, à 6 millions de barils par jour.