La cour d’appel de Californie s’est penchée sur le décret Trump concernant l’immigration ce mardi 7 février. La Maison Blanche tente de réfuter les interdictions d’entrée pour les ressortissants de sept pays à majorité musulmane situés dans le décret. Ainsi, un tribunal fédéral de l’Etat de Washington a tenté de stopper. Du coup les juges de la maison blanche ont essayé de défendre la décision de leur mentor devant la partie adverse, rapporte la Radio France Internationale .
En effet, le cœur de sa plaidoirie fut d’expliquer clairement aux américains que le président Trump a le sentiment d’un risque d’attentat existant. Pour le juge Clifton de la partie adverse: »je comprends le concept, mais c’est très abstrait ! Y a-t-il une raison, non dite, qui vous fait croire à un risque réel « , « combien d’attentats commis par les ressortissants des sept pays en question ? », « Avez-vous des preuves que vous nous cachez ? ».
Toutefois, les juges de la Maison Blanche ont beaucoup de difficultés à défendre le texte anti-immigration jugés discriminatoire du président Trump.
