Suite à la décision du Tribunal arbitral du sport (TAS) qui a tranché en faveur de Gediawaye FC dans l’affaire qui l’oppose à Jappo, confirmant la décision de la chambre nationale de résolution des litiges (CNRL) de la FSF, les dirigeants de GFC ont fait face à la presse pour faire le point sur la situation.
«A l’origine il y avait un contrat signé le 24 novembre 2011 et la société GIABBANI. Ce contrat transféraiat la gestion du club à GIABBANI. Au cas où Jappo souhaiterait se retirer , l’association lui reconnaissait le droit de négocier avec un repreneur. Parce que comme on le sait chacune des parties a eu la liberté de se retirer…
Il y a quelques semaines, nous avons saisi les président de la FSF et LSPF mais à ce jour, nous n’avons aucune récations de leur part.A la date butoir du 31 octobre fixée par la FSF, nous avons fait nos engagements pour la saison à venir et payé les frais requis à la FSF comme nous le faisions chaque année. Et à ce jour, nous n’avons reçu aucune indication contraire à cet engagement pour la saison 2017-2018, ce qui nous rend éligible…
C’est seulement il y a quelques semaines que nous avons reçu de l’association une lettre de non renouvellement du protocole et nous leur avons répondu en les renvoyant à l’article 4.B. Depuis, nous n’avons reçu aucune communication d’eux.
Monsieur le président, nous n’avons donc aucun autre choix que de saisir votre chambre pour que les droits qui nous sont conférés dans le protocole soient soient respectés dans leur intégralité surtout ceux contenu dans l’article 4.B. », a déclaré l’avocat de GFC, Me Ndiaye.
Les dirigeants de Guédiawaye Football Club pensent qu’à quatre jours du démarrage du championnat, « il est primordial qu’une décision soit rendue pour régler ce litige qui pénalise d’abord des joueurs qui sont sous contrat et qui ne demande qu’une chose: faire leur travail ».
A rappeler que les dirigeants de Jappo, annoncés à la rencontre, ont brillé de par leur absence.
Sunugal 24.net