Un mandat d’arrêt a été délivré, ce 18 décembre, contre l’ancien président bolivien Evo Morales. Après avoir été déchu des suites d’une crise post-électorale, Evo Morales est accusé par deux juges de son pays de sédition, terrorisme et financement du terrorisme.
Le texte délivré par le Parquet anticorruption de La Paz, ordonne aux forces de l’ordre « d’arrêter et de conduire Evo Morales Ayma au siège du ministère public ».Pour rappel Evo Morales, en exil en Argentine, d’où il mène la campagne présidentielle pour le MAS, son parti politique, informe rfi.fr