Ça sent le pétard, ou plutôt le gaz. Ça va chauffer du côté de la place Protet, en ce jour si spécial marquant l’anniversaire du décès du président poète, Léopold Sedar Senghor.
Entre « Gorgorlous » désemparés et flics prêts à « mater », comme le suggère Ndéné, il s’annonce évidemment un Réveillon de Saint-Sylvestre bien avant le 31 décembre.
Que de feux d’artifice, mais aussi de grenades lacrymogènes. Le spectacle risque d’être tout simplement électrique.
L’enjeu est de taille: ce cadeau de Noël « empoisonné » ne passe pas. Naturellement, «Ño Lank» le décline et le renvoie. Telle une patate chaude !