C’est le résultat de la mise à jour effectué lundi à Cologne (Allemagne) au siège du Comité de la Sécurité aérienne de l’Union Européenne (UE) lors d’une séance de travail présidée par la Commission européenne et l’Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA)
Banni il y a plus d’une année au même moment qu’une dizaine de pays africains, le Gabon doit ce satisfecit aux améliorations « apportées à la sécurité aérienne ». Mais il y a encore onze pays du continent qui continuent d’accuser « un manque de supervision de la sécurité par les autorités de l’aviation de ces Etats ».
Ces Etats sont : République du Congo, RDC, Djibouti, Guinée équatoriale, Erythrée, Libéria, Libye, Sao Tomé et Principe, Sierra Leone, Soudan et Angola. Mais en Angola, TAAG Angola Airlines et Héli Malongo ne font pas partie de la blacklist.