Bon sang, qu’est-ce que nous avons fait à Dame nature, pour mériter certains dirigeants ? Sous Gorgui, c’est un Farba Senghor, qui empêchait à «Gorgorlu» de dormir du sommeil du juste.
Avec la chute du régime libéral, on croyait qu’on allait enfin se taper une bouffée d’oxygène. Mais erreur ! Car c’est l’avènement de Moustapha Cissé Lô et Farba Ngom.
Deux proches parmi les proches de «Thiompal», qui veulent faire de sorte que notre existence n’ait aucun sens.
La preuve, si le bonhomme d’Agnam ne se fend pas de déclarations malheureuses ou ne brûle pas le ciel par des coups, c’est «Baay Guinaar», qui constitue pour un peuple un vrai cas.
Depuis 2012, l’homme ne jouit de plaisir que quand il insulte, copieusement, ses semblables. Sa dernière victime, le leader du Pastef.
Barthélemy Dias a, lui aussi, l’injure à la bouche, quand l’envie l’en démange. Sauf qu’à chaque fois qu’il le fait, il est jeté au fond d’un trou. Comme l’est, depuis plus de six mois, Assane Diouf.
Malheureusement, on ne saurait compter sur l’Assemblée nationale, pour adopter un texte interdisant les injures dans l’espace politique. Parce que, là-bas, également, les mots volent très bas, en dessous des chaussettes de «Paa Niasse». C’est chiant, la République des insulteurs.
(SourceA)