Kristen Stewart : «Trump était totalement obsédé par moi »
21 janvier 2017L‘actrice Kristen Stewart a jeté un pavé dans la mare vendredi soir, lors du festival du cinéma indépendant de Sundance, quelques heures après l’investiture du nouveau président américain. «Donald Trump était fou de moi il y a quelques années, complètement obsédé, c’était totalement dingue », a déclaré l’actrice de la trilogie «Twilight» et «Personal Shopper». Elle est revenue sur une série de tweets postés en 2012 par le futur 45ème président des Etats-Unis. «Je ne peux même pas le comprendre. C’est tellement suréaliste qu’il soit devenu président. C’est un truc de malade !» a-t-elle déclaré à l’hebdomadaire spécialisé dans le cinéma Variety.
Le présentateur de The Apprentice insulte l’actrice sur Twitter
Entre octobre et novembre 2012, l’homme d’affaires qui, à l’époque présentait l’émission de téléréalité «The Apprentice», avait posté des messages orduriers sur l’infidélité de la jeune star de Hollywood envers son non moins célèbre compagnon Robbert Pattinson. « Robert Pattinson ne devrait pas reprendre Kristen Stewart », avait tweeté Trump le 17 octobre: « Elle l’a trompé comme une chienne et elle va recommencer, il suffit de regarder, il peut trouver mieux ! ».
Le jour suivant, il avait poursuivi en s’affirmant « 100% certain » que Kristen Stewart tromperait à nouveau son partenaire: « Ai-je parfois tort ? », assénait-il.
Le 22 octobre, dans deux derniers tweets, Donald Trump implorait l’acteur de « balancer Kristen Stewart »: « Dans quelques années, il me remerciera. Sois intelligent, Robert! »
Les deux jeunes acteurs était resté en couple jusqu’en mai 2013, un mois après le dernier tweet de Donald Trump adressé à Kristen Stewart, dans lequel il lui souhaitait « Bon anniversaire ».
« A cette époque, Trump était seulement, disons, une star de la télé-réalité. Je ne savais pas qui c’était. Ce n’était pas quelque chose de vraiment important », a commenté vendredi Kristen Stewart. « Mais ensuite, quelqu’un m’a rappelé tout ça, et c’était juste « oh mon Dieu, tu as raison ! » ».
